La jeune épouse corrigée

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il y a 6 ans

Lorsque Julien nous présenta sa fiancée, il n’était pas peu fier de lui. Il faut reconnaître que Nathalie est une fille d’une rare beauté : pas très grande, mais admirablement proportionnée, mince, fine, un corps de rêve, un teint superbe, une chevelure foisonnante.

Elle était la coqueluche de la faculté où Julien et elle finissaient leurs études et notre fils avait quelque raison de s’enorgueillir d’avoir été préféré à tous les garçons qui la courtisaient. Elle plut tout de suite à mon mari. Il faut dire que Paul a toujours été un amateur de jolies femmes et qu’il tombe facilement sous leur charme : Julien a de qui tenir. Moi, j’étais un peu plus circonspecte. Certes, Nathalie était très belle, mais aussi très consciente de sa beauté et du pouvoir qu’elle lui conférait. Julien était baba d’admiration devant elle et prêt à tout pour satisfaire ses désirs.

Il cédait à ses moindres caprices et cela ne laissait pas de m’agacer. Notre fils, un garçon si brillant, était comme un toutou devant cette chipie qui le faisait parfois tourner en bourrique. Julien n’en était pas moins follement amoureux et ils ne tardèrent pas à se marier.

Mes relations avec Nathalie n’étaient pour autant pas mauvaises. Elle n’était pas antipathique, loin de là, et elle m’aimait bien, bavardait volontiers avec moi et n’hésitait pas à me faire des confidences. Cependant j’étais de plus en plus irritée de la façon dont elle se plaignait de Julien qui n’avait rien fait pour le mériter. Un jour que nous étions toutes les deux seules à la maison, Paul et Julien étant sortis ensemble pour faire une course dans un magasin de bricolage, elle se montra encore plus insupportable qu’à l’accoutumée, se répandant en récriminations à l’endroit de Julien, accablant mon fils de reproches immérités sur les sujets les plus divers.

Plus elle parlait, plus la moutarde me montait au nez et enfin, au comble de l’exaspération, j’interrompis ce flot de paroles en lui donnant une claque. Elle s’arrêta net, bouche bée, stupéfaite, se frottant la joue. « Cela suffit comme ça », lui dis-je, et je l’empoignai sans ménagement, m’assis sur une chaise, la couchai en travers de mes genoux et la troussai. Elle portait une ravissante petite culotte de soie bleue que je baissai, dévoilant ainsi un adorable petit derrière : deux fesses bien rondes, souples, élastiques, à peine sorties de l’adolescence. Je levai la main et je les claquai à toute volée. Nathalie se trémoussa et tenta de se dégager, mais je l’assujettis solidement. Je suis assez grande et forte, très sportive, et à côté de moi Nathalie fait plutôt modèle réduit.

Elle n’était pas de taille à me résister et, de fait, elle ne résista pas. Ivre de joie, je claquai donc de toutes mes f o r c e s ce petit cul insolent de jeune pimbêche, bien décidée à le faire rougir uniformément, à ne pas laisser un centimètre carré de peau blanche. Ses jolies fesses rosirent, rougirent et furent bientôt cramoisies. Nathalie tantôt les serrait, tantôt les écartait, me donnant alors à voir son œillet mignon. Je voulais que de cette fessée, elle se souvînt longtemps et j’en pris les moyens.

Sourde à ses cris et à ses supplications, je la fessai aussi longtemps et aussi fort que je le pus. Lorsqu’enfin je cessai la correction, elle était pantelante, secouée de sanglots, incapable du moindre mouvement. Je caressai brièvement ses fesses brûlantes, puis je la remis sur pieds face à moi et je lui dis : « Je ne veux plus entendre ce genre de propos sur Julien, c’est bien compris ? ».

Le visage inondé de pleurs, elle fit signe que oui. Je l’autorisai alors à se reculotter et à gagner la salle de bains pour se rendre présentable avant le retour de Paul et de Julien. Le soir au repas, comme elle se tortillait sur sa chaise, je ne pus m’empêcher de la chambrer un peu : « Qu’est-ce qui ne va pas, Nathalie ? Vous avez mal quelque part ? ».

Son visage s’empourpra et elle baissa les yeux en secouant la tête, emplie de confusion. Deux jours plus tard, je profitais d’un moment où je me trouvais seule avec Julien pour lui demander comment Nathalie se comportait avec lui. Il me répondit qu’elle s’était transformée : depuis deux jours, elle était absolument charmante avec lui. « Tout va bien, alors ? » lui demandais-je.

Julien me répondit que oui, avant de se reprendre : « oui, très bien, si ce n’est qu’il y a un petit truc qui m’étonne ». « Quoi donc ? », lui demandais-je. Il prit un air un peu embarrassé avant de me répondre : « Tu sais que nous avons l’habitude de dormir entièrement nus. Eh bien, depuis deux jours, elle met une culotte de pyjama dans la salle de bains avant de se coucher et, au lit, quand je m’approche pour … enfin tu vois ce que je veux dire, elle s’y refuse en prétextant une migraine ».

J’éclatai de rire : « Passe encore pour la migraine, cela peut toujours arriver même si le prétexte est un peu éculé, mais ça n’explique pas la culotte de pyjama qui n’a aucun effet connu sur les maux de tête … Je crois que je peux te donner la clé de l’énigme ». Et je lui racontai ce qui s’était passé pendant qu’il était en courses avec son père. « Crois-moi, Julien, c’est la bonne méthode. En lui cédant tout, tout le temps, tu n’as jamais réussi qu’à la rendre plus exigeante et plus désagréable. Moi, avec une bonne fessée, je l’ai retournée comme une crêpe. C’est une fille bien, j’en suis convaincue, qui pourra te rendre heureux si tu t’y prends bien avec elle. Elle a simplement besoin d’être tenue et remise à sa place quand elle passe les bornes. Et maintenant, c’est à toi de prendre les choses en mains. Tu es un grand garçon et il ne faut pas compter sur Maman pour faire toujours ton travail ».

Dans les semaines qui suivirent, je vis Julien et Nathalie de plus en plus radieux, de plus en plus amoureux. Et deux mois plus tard, Julien me prit à part et me dit : « Tu sais Maman, tu avais raison. Maintenant je fesse Nathalie chaque fois qu’elle l’a mérité et elle l’accepte volontiers. Et il y a quelque chose que je vais te dire parce qu’elle n’ose pas te le dire elle-même, c’est qu’elle t’est très reconnaissante de la fessée que tu lui as donnée. Elle m’a confié que c’était le plus beau cadeau de mariage que tu pouvais nous faire ».

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